Nom : Bé, mais peu de personne le connaisse
Prénom : Djynn
Rôle / Race : Elfe
Age : 20 ans tout au plus.
Apparence physique : Djynn comme tous les elfes, est grand et svelte, élancé sans être pour autant maigre et fragile, la peau pâle, bien plus que ces pairs, il est étonnement sensible au soleil devant se protéger les yeux lorsque celui-ci est trop fort, il porte des habits clair la plupart du temps, croyant que ceux-ci pourrait « écarter » les rayons solaires, des cheveux longs et blancs grisâtres dû à leur saleté, les yeux gris en amandes, leur couleur vient du fait qu’ils sont trop souvent exposés au soleil, ses bras et ses jambes son assez maigres, mais cache une détente peu commune, des réflexes peu communs, mais qui ne sont pas si étonnants pour les elfes.
Il porte aussi, par habitude plus que par croyance, un symbole en pendentif, fait avec une petite brindille d’arbre, qui est censé porter chance, ainsi qu’une dague, offert par sa famille dont la lame, blanche, semble être faite en ivoire, mais qui tranche aussi bien qu’une lame d’acier aiguisée.
Caractère : Calme serait un terme très superficiel, car derrière cette apparence tranquille se cache une personne sans attache, qui doute en permanence, mais qui garde tout à l’intérieur. Amateur de poèmes et autre calembours de mauvais gouts, il aime s’amuser et profiter de la vie sans pour autant faire de l’excès : c’est le personnage qui tempère les autres, qui peut empêcher une situation de dégénérer, du moins s'il se donne la peine de s’y intéresser.
Car s'il est généreux, il semble aussi respecter une éthique qui ne concerne que lui. Entre autres, il ne peut accepter d’obéir aux gens, même si ceux-là lui sont socialement supérieurs, voir physiquement, mais au contraire, ne peut résister aux bouilles d’enfant, et se décarcasserait pour aider ces derniers.
D’un autre coté, il évite le plus possible les affrontements, même contre un ennemi faible, il préférait calmer le jeu plutôt que de vouloir se battre, mais s'il y est obligé, son ennemi aura intérêt à courir vite, ou il devra faire connaissance avec Moon.
Pouvoir ou don particulier : Les pouvoirs de Djynn sont inattendus, certain elfes peuvent faire pousser un arbre en quelques minutes d’autre utiliser l’air pour permettre aux plantes de s’épanouir, et bien lui, il peut tout simplement se contenter de gratter la terre et de planter la graine, car Djynn n’a pas vraiment de pouvoir réel. Le seul ‘pouvoir’ si l’on peut le nommer cela comme ainsi, c’est son agilité hors du commun, ainsi que sa détente tout aussi étonnante, pouvant exécuter un bond de deux fois sa hauteur (au maximum s’entend, non il ne vole pas :p), mais lors de voyage il découvrira tout de même un pouvoir, celui de manier, contrôler l’élément liquide, pouvant en faire une arme, ou une source de vie curative.
Ce pouvoir de l'eau se manifeste que lorsque celle-ci est proche de lui, par exemple il peut l'amener à lui, quand elle est inaccessible (par exemple l'eau des puits souterrains) évitant ainsi de mourir de soif : sacrément utile quand on voyage en permanence.
Il peut, s'en servir comme arme, en la gelant, lui donnant l'apparence de pics redoutables, ou prendre la fuite en l'évaporant, créer un "mur" de brume qui pourrait lui servir de couverture masquant sa fuite.
Histoire : Né dans un petit village tranquille en pleine forêt, dans lequel même la guerre ne semblait pas exister, il vécu une enfance paisible, entouré d’une famille aimante, (et un peu trop nombreuse à son goût, il est vrai que quatre générations d’un même famille vivant dans un seul village, c’est assez encombrant :s). La vie passait tranquillement, mais une ombre se profilait, un étrange mal semblait décidé à détruire la vie tranquille de Djynn, car celui-ci avait tendance à très mal supporter le soleil : ses yeux devenaient rouges quand il restait trop longtemps. Il fut condamnée par la nature à ne vivre que de nuit, développant un degré avancé de nyctalopie (capacité de voir dans le noir, je le dit parce que je suis pas sûr du mot), c’est donc malgré cette maladie pour le moins étrange, qu’il continua à vivre, entouré et soutenu par sa ‘petite’ famille. A l’âge de dix ans, on lui offrit une magnifique dague, qui était étonnement lourde malgré l’apparence miniature de celle-ci (on se souviendra entre autres des nombreuses fois où il pu attester de sa lourdeur en se la prenant à plusieurs reprises sur la pointe des pieds). Intéressé par cette étrange dague, il passa le plus clair de son temps, quand il n’étudiait pas, ou qu’il ne s’amusait pas avec ses cousins/cousines/frères/sœurs et compagnie, à la manier. S’entrainant à son maniement, il découvrit la particularité de celle-ci (pas celle de fracturer les doigts de pieds, l’autre particularité) sur un coup de chance, car un jour, ou plutôt une nuit, alors qu'il s’entrainait tranquillement, il voulu la pointer violemment vers l’arbre qu’il utilisait comme cible et par mégarde, il enclencha le mécanisme de la lame. Celle-ci s’allongea jusqu'à toucher l’arbre de plein fouet, plantant le bout de la dague. Cette dague était un modèle d’arme mécanique, du moins une dague pouvant se transformer en fouet, (pour que vous comprenez, on dira que c’est une version miniature de la bonne vieille épée de Ivy de Soul Calibur), tout excité de cette découverte, il prit bien soin de le dissimuler aux autres, s’entrainant encore davantage.
Mais un jour (oui il y a toujours un élément perturbateur ^^), la guerre rattrapa le petit village elfique : des soldats que Djynn serait incapable de dire à quoi ils ressemblaient vinrent l’attaquer mettant la petite citée forestière à feu et à sang -plus à feu qu'à sang, les arbres ça brule drôlement bien-. La famille de Djynn et les autres habitants du village tentèrent de fuir la guerre, comme ils avaient probablement fait autrefois, mais cette fois-ci la chance fut du coté de l’ennemi, qui tua une grande partie des gens en fuite. Djynn ainsi que deux de ses sœurs, trois cousins et quelques bambins, trop jeune (et surtout ne faisant qu’une figuration dans cette histoire) pour comprendre l’horreur de la scène, purent survivre en se cachant dans un ravin. Ils purent dès le lendemain, commencer à partir en terre inconnue, la famille qui restait décida de se rendre le plus loin possible de ces terres qui étaient pourtant devenue leur terres natales. Mais ils durent très vite se rendre à l’évidence, avec des poids, comme Djynn qui ne pouvait se déplacer en pleine journée ou les gamins qui réclamaient de la nourriture à longueur de temps (ainsi que les pauses pipi, mais bon ça…), qu'ils devaient abandonner, les plus faibles, ainsi que ceux qui ralentissaient la troupe, dont le pauvre Djynn qui, une nuit se réveilla seul, dans une plaine, dague en poche, et un petit pendentif fait d’une petite branche. Il comprit qu’il ne pouvait pas continuer à les suivre éternellement et décida de voyager à son tour.
C’est ainsi qu'à peine 15 ans, il partit en quête du monde, avec pour seul bagage les vêtements qu’il portait, la dague (qu'il appellera Moon, en faveur de son accompagnatrice nocturne) et ce petit pendentif porte bonheur. Il découvrit assez vite que l’attaque de son village n’était pas du à la guerre, mais à un groupe de bandits/voleurs/saligauds qui razziaient et brûlaient les cités ou les villages perdus, et que le sien n’avait été qu’un parmi tant d’autres…
Inventaire : Il possède entre autres : une tenue large et pas franchement d toute première fraicheur, blanche, enfin grise maintenant, vu le temps qu’il la port, sa dague lourde qu'il nommera Moon lors de son errance, et le pendentif qu’il porte depuis sa séparation avec les reste de son village.
Autre précision : Une petite explication a propos de Moon:
Cette dague lourde particulière car celle ci, derrière son apparence de dague dentelée cache une autre fonction, car celle-ci grâce un câble relativement solide et souple, peut se transformer en fouet redoutable, comme je l'ai déjà dit plus haut, c'est un version miniature de l'épée d'Ivy, personnage tirée de Soul Calibur I, II et III (pas que je soit fan d'elle, mais son arme m'éclate totalement, oups je m'égare ^^')
cette dague donc, grâce à ce câble particulier ainsi qu'un mécanisme compliqué permettant de libérer ou bloquer les dents de la dague, celles-ci quand le mécanisme est enclenché, elle se désolidarise (elle se sépare quoi.) mais grâce au câble qui passe dans chacune d'entre elles celles-ci au lieu de tomber bêtement au sol, reste a une position bien précise et toutes de distance égale, assurant une précision et un équilibre proche de la perfection.
en voici une petite image, bon ici c'est une épée, mais dans que j'en ai l'occasion, je la dessinerais pour vous montrer ce à quoi elle ressemble vraiment:
Suite a une petit soucis de copyright l'image est invisible, chiotte -_-
en voici une autre: en attendant le dessin.